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Mario Alonso

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Embarqué dans la vie au début des années soixante pour traverser les Pyrénées dans les bras de sa mère, Mario Alonso restera fasciné par la symbolique des frontières, les changements de lumière et le mystère de la langue, autant de passages qu’il ne cessera de franchir dans son travail d’écrivain comme dans son journal photographique publié en ligne. Soucieux de voyager léger, l’auteur développera en chemin le goût de la brièveté, des ellipses et de la formule. Les gens qui meurent prolongent en cela ses aphorismes et son premier roman choral publié au Tripode, Watergang.

 

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